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1821 : le 19 mai, naissance à Sarniguet, près de Tarbes, de la mère dIsidore, Jacquette-Célestine Davezac, fille de Dominique Davezac, cultivateur. 1828 : François Ducasse passe le brevet denseignement primaire et entre comme clerc dans une étude davoué, où il rencontre Jean Dazet, futur tuteur dIsidore à Tarbes et père de Georges Dazet. 1830 : le 30 août, mort de Bernard-Louis Ducasse, grand-père dIsidore. 1837-39 : François Ducasse est instituteur et secrétaire de mairie à Sarniguet, où il rencontre probablement Jacquette Davezac, sa future femme. vers 1840 : François Ducasse émigre à Montevideo, en Uruguay. Il entre comme commis-chancelier au Consulat-général de France. 1847 : Le 16 novembre, Isidore est baptisé à la cathédrale de Montevideo. 1849 : Le 15 avril, naissance à Saint-Denis de Henri-Maximin Mue, futur condisciple de Ducasse et dédicataire des Poésies. 1851 : Le 8 octobre, fin de la guerre entre lUruguay et lArgentine. Le siège de Montevideo est levé. 1852 : Le 2 avril, naissance à Tarbes de Georges Dazet, futur ami de Ducasse et premier dédicataire de Poésies. 1856 : Le 28 juin, François Ducasse est nommé chancelier de première classe au consulat de Montevideo. 1857 : En mars-avril, épidémie de fièvre jaune, dont François Ducasse manque mourir 1858 : Le 29 septembre, Gustave Hinstin, futur professeur de Lettres dIsidore, est nommé professeur de troisième au lycée impérial de Saint-Étienne. 1861 : Isidore est en cinquième. 1862 : Isidore est en quatrième. Il obtient un premier accessit dexcellence. 1863 : On perd la trace dIsidore Ducasse pour cette année scolaire. On suppose quil a suivi des études dans un collège privé pour rattraper son retard scolaire. 1864 : Année de Rhétorique. Paul Lespès et Georges Minvielle sont prix dhonneur. Les résultats de Ducasse sont très modestes. Gustave Hinstin est leur professeur de Lettres. 1865 : Classe de philosophie. Paul Lespès est prix dhonneur de philosophie. 1866 : Isidore obtient son baccalauréat ès sciences. 1866 : En mars, Gustave Hinstin épouse, à Genève, Mlle Jeanne Grunfelder, de Lausanne. Il est muté en septembre à Lyon comme professeur divisionnaire de seconde, ce qui semble correspondre à une rétrogradation. Paul Lespès entre à la faculté de droit à Paris, place du Panthéon. 1867 : Le 21 mai, la préfecture de Tarbes délivre un passeport pour Montevideo à Ducasse, « sans profession ». Il sembarque le 25 mai à Bordeaux sur le Harrick. J.-J. Lefrère suggère quil est rentré pour passer devant le conseil de révision. Il est en France à la fin de lannée. Selon Genonceaux, il sinstalle dans un hôtel parisien, 23, rue NotreDame-des-Victoires. 1868 : Le 22 juillet, Évariste Carrance publie le premier volume de sa série, Les Voix poétiques. 1869 : En janvier, la Revue populaire de Paris de Louise Bader publie une publicité pour Les Chants de Maldoror 1870 : En mars, Ducasse habite 15, rue Vivienne. 1873 : François Ducasse fait un voyage en France. 1874 : Lacroix vend tous les exemplaires de lédition originale des Chants de Maldoror au libraire Jean-Baptiste Rozez de Bruxelles, qui la commercialise après en avoir fait changer la couverture. 1885 : En octobre, La Jeune Belgique publie un extrait de Maldoror (I, 11). 1886 : Dans Le Désespéré (I, « Le Départ »), Léon Bloy évoque « la récente intrusion en France dun monstre de livre, presque inconnu encore, quoique publié en Belgique depuis dix ans ». 1887 : Mort, à Montevideo, de François Ducasse. 1890 : Bloy publie dans La Plume « Le cabanon de Prométhée ». Il y présente « ce livre incohérent et merveilleux » comme luvre dun fou, mais aussi dun grand poète, « Cher grand homme avorté !Pauvre rastaquouère sublime !» 1891 : Remy de Gourmont découvre un exemplaire de Poésies I et II et relève les principales variantes entre le Chant I des Chants de Maldoror dans lédition intégrale et la version publiée par Balitout, Questroy et Cie en 1868. 1914 : Le 20 février, dans La Phalange, Valery Larbaud évoque les deux plaquettes de Poésies conservées à la Bibliothèque nationale. 1919 : André Breton publie le texte des deux plaquettes dans Littérature (n° 2, avril; n° 3, mai). 1925 : Numéro spécial du Disque vert : « Le cas Lautréamont ». 1928 : François Alicot publie dans le Mercure de France le témoignage de Paul Lespès. 1939 : Gaston Bachelard publie son Lautréamont. 1949 : Publication de Lautréamont et Sade, de Maurice Blanchot. 1950 : Thèse de Pierre Capretz sur Quelques sources de Lautréamont. 1952 : Maurice Viroux relève dans le Mercure de France plusieurs plagiats de Lautréamont (emprunts au Dr Chenu, notamment). 1970 : Hubert Juin publie les uvres complètes, en fac-similé. 1980 : Jacqueline Lafargue et François Chapon publient le texte dune lettre inédite de Ducasse à Victor Hugo. 1987 : Premier numéro des Cahiers Lautréamont, « Bulletin de lAssociation des Amis passés, présents et futurs dlsidore Ducasse ». LES CHANTS DE MALDORORE (viendront par la suite) WDW__p/HC.htmWFW
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Chronologie dIsidore Ducasse, comte de Lautreamont
1809 : le 12 mars, naissance à Bazet, près de Tarbes, du père dIsidore, François Ducasse, quatrième des huit enfants de Bernard-Louis Ducasse, surnommé « Le professeur », cultivateur.
1846 : Le 1er février, mariage à Montevideo de François Ducasse et de Jacquette Davezac. Celle-ci est déjà enceinte dIsidore.
Le 4 avril, naissance à Montevideo dIsidore Lucien Ducasse.
Le 3 août, naissance à Bayonne de
Le 15 octobre, naissance à Pau de
9 décembre : Mort de sa mère. On a supposé quelle sétait suicidée.
1859 : En octobre, Isidore entre comme interne en classe de sixième au lycée impérial de Tarbes. Jean Dazet, le père de Georges, est lun de ses tuteurs. François lavait rencontré alors quils étaient tous deux clercs dune étude davoué. Henri Mue est dans la même classe. Gustave Hinstin est professeur à Bar-le-Duc.
Le 18 août,
Le 2 octobre, Gustave Hinstin est professeur au lycée impérial de Lille.
Le 13 août,
Le 16 avril, il écrit sur un exemplaire de llliade dHomère traduit en espagnol par José Gomez Hermosilla :
En septembre,
Le 17 octobre, Isidore entre au lycée de Pau, comme interne, en classe de Rhétorique.
Le 20 août, Gustave Hinstin prononce le discours de distribution des prix du lycée de Pau.
En octobre, Isidore entre en classe de philosophie.
Le 7 juin, mort de Jean Dazet, père de
En août, le premier des Chants de Maldoror est imprimé par Balitout, Questroy et Cie. La plaquette semble navoir été commercialisée que début novembre.
Le 1er septembre, la Revue populaire de Paris de Louise Bader diffuse une publicité pour le second concours poétique dÉvariste Carrance.
Le 5 septembre, la plaquette est annoncée
1er-15 septembre, La Jeunesse, dans son n°5, publie une critique signée Épistemon (pseudonyme dAlfred Sircos) sur Les Chants de Maldoror.
Le 9 novembre, Ducasse
Le 10 novembre, il
Fin janvier, seconde édition, à Bordeaux, du premier chant des Chants de Maldoror dans le recueil collectif dÉvariste Carrance,
Durant lété, le manuscrit des Chants de Maldoror est envoyé à Bruxelles pour être composé et imprimé. Il envoie un des exemplaires à Victor Hugo.
En octobre, il habite 32, rue du Faubourg-Montmartre.
Le 9 avril, dépôt légal de Poésies I.
Le 14 juin, dépôt de
En juillet-août, la Revue populaire de Paris publie une publicité pour
Le 24 novembre, Ducasse meurt au 7, rue du Faubourg-Montmartre. ll est enterré le lendemain au cimetière du Nord, après un service religieux à léglise Notre-Dame-de-Lorette.
L. Genonceaux réédite Les Chants de Maldoror à Paris avec une préface qui contient quelques renseignements sur la vie de Ducasse et reproduit une lettre en fac-similé (12 mars 1870) ainsi que des passages de la lettre du 22 mai 1869, découvertes dans les papiers du banquier Darasse.
Publication dans la Bibliothèque de la Pléiade (édition Pierre-Olivier Walzer).
François Caradec, Isidore Ducasse, comte de Lautréamont.
1977 : Jean-Jacques Lefrère, dans Le Visage de Lautréamont, publie une photographie quil affirme être celle dlsidore Ducasse.