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SAVOIR VIVRE ET BONNES MANIERES

 

 

Nétiquette - Wikipédia

Contraction de Net (mis pour Internet et une abréviation courante de Network (réseau)) et étiquette, la nétiquette est une charte définissant les règles de ...
fr.wikipedia.org/wiki/Nétiquette - 32k -


 

 

ECRIRE UNE LETTRE ET SIGNER

 

Quand vous écrivez une lettre ou adressez un courriel (surtout désobligeant)

 

 N'oubliez pas la formule de politesse ni de signer votre lettre ou courriel. (la personne sachant qui vous êtes pourra vous répondre et mettre les choses au point.)

 

(Pas de courrier  anonyme, c'est un non respect du "savoir vivre"  on doit avoir le courage de signer ses opinions

 

  


 
Bonnes et mauvaises manières
 

 

La ponctualité est un acte essentiel du savoir-vivre. Si quelqu’un vous donne rendez-vous dans la
 rue ou dans un lieu public à une heure précise, on doit arriver à l’heure, le maximum qui peut être toléré est cinq minutes de retard. S’il s’agit d’un rendez-vous d’affaires, professionnel, chez le médecin, le dentiste, il est recommandé d’arriver cinq ou dix minutes plus tôt.

 

  

Cracher dans la rue est absolument interdit.


Roter en public est très impoli.


Bailler sans mettre sa main devant la bouche, se moucher ou éternuer bruyamment sont également des comportements
 très mal considérés.

 

Dans la rue, il y a des passages spéciaux(devant les feux rouges ou non) que les piétons utilisent pour
traverser. Ne pas utiliser les passages piétons, qu’on appelle aussi les « clous », est mal considéré,  

Dans les transports publics (bus, train, métro), il est d’usage d’offrir son siège à une personne âgée, à une femme enceinte,
à une personne avec un enfant.

 

Dans un ascenseur, dans les transports en commun, dans la rue, on ne fixe pas les gens du regard. Dévisager une personne
est considéré comme très impoli. Parler bruyamment à une personne qui nous accompagne ou au téléphone est
également mal considéré.

 

A la fin d’un repas, il est normal de partager l’addition de manière égale entre tous les convives, sauf si l'un d'entre eux
 insiste pour tout payer.

 En revanche, il est toujours d’usage dans un dîner à deux qu’un homme invite la femme qui l’accompagne,
même si cet usage est moins courant parmi les jeunes gens.

 

Dans une file d’attente, il faut faire la queue comme tout le monde et attendre patiemment son tour. 

  

On doit dire merci lorsqu’on reçoit quelque chose, lorsqu’on nous rend un service. Si l’on reçoit un cadeau, on peut l’ouvrir immédiatement. On peut cependant le faire après une petite phrase conventionnelle : « Est-ce que je peux l’ouvrir tout de suite ? ».
 Même si le cadeau n’est pas de votre goût, , on ne montre pas sa déception.

 
Salutations


  Lorsqu’on entre dans une pièce où il y a des gens, il est d’usage de dire bonjour en arrivant, mais il n’est pas obligatoire de serrer toutes les mains.

  S’il s’agit d’une première rencontre, on pourra dire : “Enchanté”, “Ravi de vous rencontrer”, ou tout simplement annoncer son nom : “Bonjour, Jean Martin..

Si l’on est présenté à quelqu’un, il est préférable d’attendre que cette personne vous tende la main pour la saluer.

 

La poignée de main  :  est bien plus habituelle en France que dans les pays anglo-saxons par exemple. En arrivant au bureau le matin, il est fréquent que les Français lancent un “Bonjour, ça va?” ou un “Salut Daniel” en se serrant la main, même s’ils se sont vus la veille.

 Le soir, en se quittant, il n’est pas rare qu’on se serre la main une nouvelle fois. Serrer la main est ainsi un rituel
 d’ouverture et de fermeture de la rencontre, l’acte de se saluer et de se quitter est fortement marqué par ce geste.

 Une rencontre de moins de cinq minutes – dans la rue par exemple – peut être introduite par une poignée de main et terminée par une autre.

 

 Faire la bise :  Il n’est pas anormal de serrer la main à une femme, mais un homme embrassera plutôt sur chaque joue une femme qu’il connaît : parent, collègue ou amie.

 

Assez souvent, lorsque la relation n’est pas encore très développée, un homme prendra la main d’une femme pour la saluer mais se penchera en même temps vers elle pour l’embrasser, signifiant ainsi que la relation est plus proche, plus amicale.

 

 Tout comme la poignée de main, faire la bise marque le temps de la rencontre, et là aussi, il n’est pas inhabituel qu’une brève conversation dans la rue soit introduite par des bises et finie par d’autres bises en se quittant,..

La bise provoque quelquefois des hésitations, ou même des embarrassements : bien qu’embrasser une fois sur chaque joue semble être la norme, 

” Les femmes se font plus souvent la bise entre elles que les hommes le font entre eux, sauf s’il s’agit d’un proche parent (père, frère, cousin etc.) Lorsque les hommes s’embrassent, on parle plutôt d’une “accolade”, qui consiste à mettre ses bras autour du cou, tout en donnant quelques tapes dans le dos.

 

Dans le cas où deux personnes se rencontrent d’une certaine distance un certain code est aussi en usage : si l’on connaît bien cette personne, et si la relation avec elle est plutôt informelle, un petit signe discret de la main est d’usage.

 En revanche, si l’on croise dans la rue une personne avec laquelle on entretient une relation formelle supérieur  ou qu’on connaît assez peu, il est préférable de marquer cette rencontre par un hochement de la tête seulement.

Si cette personne est accompagnée, il est recommandé de s’abstenir de faire un signe, sauf si cette personne fait elle-même un geste.

 Enfin, si la personne ne vous a pas remarqué il est préférable de ne faire aucun signe.

 

Tu ou vous ?
   

Le temps n'est plus où les jeunes gens se dénommaient "Monsieur, Mademoiselle"

 

 Il y a un grand nombre de cas de tutoiement spontanés : les jeunes enfants par exemple s’adressent aux adultes en utilisant le pronom tu jusqu’à ce qu’ils apprennent – vers 7 ou 8 ans – à distinguer les circonstances où il faut faire un choix.

 

 Les jeunes du même âge, les adolescents, se tutoient de manière spontanée, sans distinction de sexe.

 

 Les membres d’une même famille se tutoient : sauf dans des cas aujourd’hui exceptionnels, les enfants ne disent jamais vous à leurs parents.

Le tu spontané est aussi d’usage dans certains cercles, clubs, associations; cela a pour effet de renforcer le sentiment d’unité et d’appartenance au groupe.

En général, on vouvoie les personnes que l’on rencontre pour la première fois, le supérieur hiérarchique, une personne plus âgée que soi.

 Il existe certains cas où une personne est autorisée à tutoyer, tandis que son interlocuteur emploie le vous : un professeur parlant à un jeune élève, un adulte à un jeune enfant, une personne âgée s’adressant à une personne beaucoup plus jeune.

 Cette situation n’autorise pas la personne qui est tutoyée à tutoyer son interlocuteur à son tour, ce qui montre que le vouvoiement n’est pas seulement une marque de formalité, mais aussi un indicateur de hiérarchie sociale qui permet de montrer son respect.

Dans une première rencontre, le choix entre le vous et le tu n’est pas toujours facile, il existe des circonstances où l’on hésite.

 

En général, c’est la personne la plus âgée, ou celle qui se trouve dans une position hiérarchique supérieure, ou celle qui reçoit qui va décider : “On pourrait peut-être se dire tu?” 

 

Aujourd’hui, l’usage du tutoiement est de plus en plus répandu, notamment parmi les jeunes générations.

 

  

Etre reçu
 

Lorsqu’on est invité pour une soirée, un dîner, un cocktail chez quelqu’un, il est nécessaire d’observer cette règle : ne pas arriver à l’heure ! En d’autres termes, si l’on est invité pour 19 heures, il est d’usage de se présenter 10 ou 15 minutes plus tard, car arriver plus tôt serait arriver trop tôt. En revanche, si l’on prévoit un “vrai” retard de plus de trente minutes, il est poli de téléphoner à ses hôtes pour les prévenir.

 

Que peut-on apporter à ses hôtes lorsqu’on est invité ? Un bouquet de fleurs bien sûr,  mais une bouteille de bon vin ou une boîte de chocolats sont probablement un meilleur choix.

Il faut en effet considérer que votre hôtesse, si elle reçoit beaucoup d’invités, ne sera peut-être pas très disponible pour s’occuper de plusieurs bouquets de fleurs qu’il faut préparer, mettre en vase etc.

 

L’élégance suprême consiste à envoyer des fleurs avant, la veille ou le jour de l’ivitation, avec une carte de visite et quelques mots de remerciements.

 

Les Français aiment la conversation en général, mais elle doit rester de “bon ton” selon l’usage. Ne rien dire est considéré de mauvais goût, mais vouloir trop briller est également mal considéré. On évitera des sujets de conversation trop polémiques, comme la politique, la religion, la morale, les impôts, afin de ne pas révéler trop ouvertement ses opinions. Il faut également éviter de critiquer certaines professions (avocats, enseignants, médecins etc.), car il est toujours possible que l’un des invités exerce l’une de ces professions.

 

 Il faut attendre que son interlocuteur ait fini sa phrase pour parler à son tour, il faut éviter aussi de contredire ouvertement cette personne, même si l’on ne partage pas ses opinions.

 

Il est important d’écouter ce qu’on nous dit, en particulier les réponses aux questions que l’on a posées.

 Il est impoli de “retenir” quelqu’un pendant trop longtemps, même si cette personne paraît vous écouter avec intérêt. Si un autre invité salue et s’adresse à la personne à qui l’on parle, il est préférable de les laisser pour se joindre à un autre groupe.

Lorsque l’on quitte ses hôtes, il est bien sûr essentiel de les saluer et de les remercier personnellement.

 

L’idée de “partir” pour les Français est plus un “projet” qu’une intention ferme et déterminée que l’on exécute immédiatement. En bref, un départ trop brusque sera considéré comme anormal et impoli.

 

Il est poli d’envoyer un message de remerciement ou de téléphoner à vos hôtes le lendemain de leur invitation, . Si vous avez fait des promesses à vos hôtes ou à l’un des invités, tenez ces promesses, sauf si vous avez réalisé que c’est le vin et non la raison qui vous a fait parler !

 
 Manières de table
 

 Les invités autour d’une table mangent, mais se parlent aussi, s’observent, s’écoutent sur une période qui peut souvent durer plus de deux heures.

 

C’est généralement l’hôtesse qui place ses invités à table, il faut donc attendre qu’elle vous indique votre place.

 En général, si vous êtes un homme, vous serez placé entre deux femmes, car la maîtresse de maison souhaite alterner les convives de chaque sexe.

 

 Les hommes normalement ont le devoir de s’occuper et de faire la conversation avec leur voisine.

 

La serviette que l’on a trouvée placée sur son assiette sera posée à moitié dépliée sur ses genoux .

et les mains (pas les coudes !) seront placées sur la table, de chaque côté des couverts.

 

 On trouvera les couteaux et la cuillère pour le potage à droite de l’assiette, alors que les fourchettes seront à gauche. Il est fréquent que trois verres soient placés devant l’assiette : le plus grand sera pour l’eau, le plus petit pour le vin blanc, et le moyen pour le vin rouge.

 

Le pain est placé dans une corbeille non loin de soi, mais l’usage interdit d’en prendre un morceau pour “grignoter” avant le premier plat (on peut le faire au restaurant cependant). On ne boit pas avant d’avoir mangé et c’est l’hôtesse qui invitera les convives à commencer.

 

Les invités se servent généralement eux-mêmes en se passant les plats.

 Les hommes se chargent de servir les femmes, ainsi que de remplir leur verre.

 

 Si vous jugez que vous avez assez bu, laissez votre verre plein, on ne vous reservira plus !

Lorsque vous buvez, n’oubliez pas de vous essuyer les lèvres avant, afin de garder votre verre transparent durant tout le repas. Essuyez vos lèvres aussi après, si possible en tenant votre serviette à deux mains.

 Si l’hôtesse vous demande de vous reservir, il est poli de refuser une première fois, pour ne pas avoir l’air gourmand. Attendez qu’elle vous demande une nouvelle fois pour accepter.

 

En revanche, si vous n’aimez pas un plat, essayez d’en manger un peu quand même, pour ne pas offenser vos hôtes.

Enfin, l’usage de laisser un petit quelque chose dans l’assiette pour montrer qu’on n’est pas Légumes :

 ou qu’on a assez mangé n’est en fait guère pratiqué : les convives ont plutôt le sentiment que ne pas finir son assiette risque d’offenser les hôtes et surtout l’hôtesse, qui a choisi et préparé les plats.

 

 

 

 

 

Les règles de savoir vivre à table sont nombreuses, : on ne parle pas la bouche pleine, on ferme la bouche en mangeant; on ne souffle pas sur le potage pour le refroidir; on ne coupe pas sa salade avec son couteau, ni son omelette, ni les pâtes.

Les pommes de terre ne doivent pas être écrasées, mais séparées avec le côté de la fourchette.

 On “pousse” les morceaux de viande, les légumes sur sa fourchette avec un morceau de pain, pas avec le couteau. MAIS :

 

NOTA : utiliser du pain ou le couteau ?

Il y a deux façons :

A la française : On utilise une fourchette en s'aidant d'un morceau de pain

A l'anglaise : On pousse avec son couteau

(les deux façons étant valables, on ne commet par d'impair international)

 

 

 

On ne prend jamais une arête de poisson avec ses doigts, on la dépose du bout des lèvres sur la fourchette et on la place sur le côté de l’assiette.

Il est normalement très impoli de “saucer” son assiette avec du pain, bien que la tentation soit grande !

On n’écrase pas le fromage sur son pain, on le mange par morceaux.

On ne coupe pas le pain avec son couteau, on le “rompt” avec ses mains.

Lorsqu’on a fini,, on pose ses couverts (fourchette et couteau) sur son assiette, sans les croiser, la pointe de la fourchette tournée vers le bas.

.

 Lorsque l’hôtesse en donne le signal, les invités peuvent quitter la table, ils déposent alors leur serviette (non pliée) près de leur assiette en se levant.

 

A table les enfants ne se lèveront qu'à la fin du repas, quand leur maman aura donné le signal, pas avant; Si pour l'une ou l'autre raison  on s'attarde à table, un enfant pourra demander l'autorisation de quitter la table.

 
  

Galanterie
 

 Un homme galant ouvrira la porte à une femme pour la laisser passer devant lui. Cependant, s’il s’agit d’un endroit public, comme un bar ou un casino par exemple, l’homme généralement précédera la femme qui l’accompagne, peut-être pour s’assurer que l’endroit est sûr ou convenable.

 

Dans la rue, l’homme réserve le côté trottoir (le « haut du pavé ») à une femme, afin de la protéger des risques possibles pouvant venir du côté rue.

 

A la gare, à l’aéroport, c’est l’homme qui se charge des bagages lourds, il aidera à monter les valises d’une femme, à les placer dans le compartiment d’un train.

 

Dans un escalier, un homme précède une femme en descendant, pour la retenir au cas où elle tomberait. Il doit aussi la précéder en montant : il ne pourra pas lui venir en aide si elle trébuche, mais pour des raisons évidentes, il ne voudra pas embarrasser une femme en la suivant.

 

Au restaurant, un homme tirera légèrement le siège pour inviter une femme à s’asseoir. Les hommes doivent attendre que les femmes soient installées avant de s’asseoir à leur tour.

 

L’homme sert à boire à la femme qui l’accompagne, lui offre les plats en premier, paie l’addition au restaurant.

Un homme aidera une femme à enlever son manteau, où à le remettre. Il la raccompagnera jusqu’à la porte, ou mieux, jusqu’à chez elle. S’il la raccompagne en voiture, il lui ouvrira la portière avant de monter lui-même. A l’arrivée, il descend de la voiture en premier pour ouvrir la portière.

 

 


 

LE WHISKY (attention au verre)

 

Boire le whisky

http://www.whisky-distilleries.info/index.htm

 

Il n'existe pas à proprement parler d'art de boire le whisky. Cependant, l'utilisation de certaines techniques de

dégustation peut considérablement améliorer la perception du goût.
Les quelques conseils ci-après sont laissés à l'appréciation de tout un chacun, et le rituel décrit ne constitue en aucun

 cas une règle générale, sans laquelle un whisky ne peut être bu.
Une remarque générale cependant: tout comme un grand vin, un whisky single malt se déguste. Tout comme un grand vin,

le whisky se boit sans glace...

 

Le prix d'achat généralement élevé d'un bon whisky est en rapport direct avec le plaisir que donne sa dégustation.

 Si le but premier de la consommation est de se saoûler, il vaut beaucoup mieux se rabattre sur des alcools nettement moins

chers et moins complexes.


FACON DE BOIRE LE WHISKY  DE HAUTE QUALITE

 

 

 

Verre idéal pour tous les spiritueux ...

TumblerLe verre qu'on nomme traditionnellement "verre à whisky" (tumbler en anglais) est à proscrire dans tous les cas. Ce verre large, ouvert à fond épais sert généralement au crime de lèse-whisky qui consiste à verser le liquide sur un fond de glaçons, et à tuer tous les arômes qui constituent l'essence même du single malt. Ce verre vu sa forme, laisse échapper tous les arômes. Or, un whisky sans arôme ne présente pas beaucoup d'intérêt. Il vaut alors mieux boire un alcool moins noble et par conséquent moins cher.

 

Verre à whisky couleurCependant, il y a pire que le verre représenté ici. Le verre représenté ci-contre parachève le crime.... En plus de tuer tous les arômes, il masque en plus la couleur du whisky. C'est à se demander pourquoi les producteurs de whisky ont mis tant de temps et d'énergie à amener leur alcool à maturation.

 

On l'aura compris, la forme et la couleur du verre ont une importance primordiale dans la dégustation du whisky. Il existe cependant une exception à l'utilisation d'un verre coloré: en cas de dégustation à l'aveugle, un verre coloré évite de se laisser influencer par la couleur pour déguster. Mais dans ce cas, la forme du verre ci-dessus reste absolument à proscrire.


Verre à cognacVerre à cognacTout comme pour le Cognac, le verre doit contribuer à enfermer et faire circuler les arômes. Le verre-ballon généralement nommé "verre à Cognac" n'est jamais utilisé par les maîtres de chais. Il s'agit d'une invention américaine pour déguster un produit français.

Le verre du maître de chais est représenté à droite. Le même type de verre est recommandé pour le whisky.

Le verre idéal permettant d'éviter une évaporation regrettable des arômes, l'adjonction d'un couvercle au verre-tulipe utilisé par les maîtres de chais constitue le nec plus ultra en matière de verres à whisky

Verre tulipeLe verre ci-contre est vraiment l'idéal, et on peut se le procurer à la distillerie Glenmorangie ou Ardbeg (les deux distilleries appartiennent au même propriétaire). Si on n'a pas vraiment l'occasion de se rendre en Ecosse, Glenmorangie le vend également sur son site internet
:https://www.glenmorangie.com/shop/products.php?cat=3
Ce genre de verre est également en vente chez certains cavistes.

 

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MALT : 

Orge germée, séchée et broyée, qui entre dans la composition de boissons alcooliques et sert à l'alimentation.
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Le mot whisky est généralement employé pour désigner les productions écossaises et canadiennes, parfois nippones.

En outre, pour pouvoir être qualifié de Scotch Whisky, le degré d'alcool doit être égal ou supérieur à 40° pour permettre

d'obtenir l'appellation de "whisky" et un vieillissement en fût d'au moins trois années sur le territoire écossais est indispensable

pour que celui-ci soit qualifié de "scotch".

En Irlande, on parle de 'whiskey' ou 'Irish whiskey', de même aux Etats-Unis on trouve lAmerican whiskey', famille

comprenant notamment le bourbon (à base de maïs) et le rye (à base de seigle). Ces différentes appellations correpondent

toutes  à des compositions différentes

 

 le whiskey irlandais est principalement composé d'orge malté, additionné de seigle.
 
le bourbon est fabriqué essentiellement à partir de maïs (entre 51 et 80% de maïs,
 le reste étant d'autres céréales).

 

le rye quant à lui est à base de seigle(la présence de seigle s'explique par le fait que les distillateurs ont suivi
leurs clients lors de la vague d'immigration irlandaise du XIXe siècle,principalement vers le Canada).

 

Le whisky de malt écossais est élaboré uniquement à partir d'orge maltée.

 

le corn whisky est quant à lui composé de plus de 80% de maïs.

 



 

 

 

 

 

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