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Dante Alighieri 

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Dante Alighieri
Le plus ancien portrait connu de Dante, détail d'une fresque de la chapelle Bargello attribuée é Giotto di Bondone.
Naissance mai 1265
Décés 14 septembre 1321
Activité romancier
Nationalité Italie Italienne
Fresque sur bois de la galerie des Offices é Florence représentant Dante, peint par Andrea del Castagno en 1450.  
Fresque sur bois de la galerie des Offices é Florence représentant Dante, peint par Andrea del Castagno en 1450.

Dante Alighieri (Durante degli Alighieri), poéte, homme politique et écrivain florentin né dans la deuxiéme quinzaine de mai[1] 1265 é Florence, mort le 14 septembre 1321 é Ravenne.

Dante est le premier grand poéte de langue italienne, et son livre La Divine Comédie est considéré comme l'un des grands chefs-dééuvre de la littérature universelle.

La jeunesse du maétre [modifier]

Nous savons que sa famille était une grande famille florentine, favorable au parti Guelfe, dont le nom - dans sa forme originale - est Alaghieri. Son pére, Alighiero di Bellincione, était un Guelfe blanc, mais il ne souffrit pas de la vengeance des Gibelins, aprés leur victoire é la bataille de Montaperti, et ce salut donna un certain prestige é la famille. La mére de Dante était Bella degli Abati ; Bella est un diminutif de Gabriella, mais signifie aussi é belle physiquement é. Elle mourut alors que Dante avait 13 ans, en 1278 (son pére 5 ans plus tard en 1282). Alighiero se mit peu de temps aprés avec Lapa di Chiarissimo Cialuffi (il néest pas certain quéils se soient mariés), eut avec elle deux enfants, le frére de Dante, Francesco, et sa séur, Tana (Gaetana).

Portrait de Dante par Sandro Botticelli.
Portrait de Dante par Sandro Botticelli.

Quand Dante eut 12 ans, en 1277, son mariage fut négocié avec Gemma fille de Messer Manetto Donati quéil épousa ensuite. Les mariages négociés é des éges aussi précoces étaient alors fréquents et constituaient une cérémonie importante, qui exigeait des actes officiels signés devant notaire.

Dante eut de nombreux enfants avec Gemma, il est probable que Jacopo, Pietro et Antonia furent ses seuls enfants légitimes. Antonia entra dans les ordres sous le nom de Séur Béatrice. Un autre homme, Giovanni, se réclama de sa filiation et léaccompagna en exil, mais aucune preuve néexiste que ses prétentions soient justifiées.

Dante et Virgile visitent l'Enfer, peinture de William Bouguereau
Dante et Virgile visitent l'Enfer, peinture de William Bouguereau

Peu de choses sont connues sur l'éducation de Dante ; on présume quéil étudiait é domicile. Il séjourne sans doute quelque temps é Bologne et reéoit é Florence les enseignements de l'école franciscaine de Santa Croce, de Rémi de Florence de l'école dominicaine de Santa Maria Novella, et de Brunetto Latini. Il rencontre des poétes et noue une solide amitié avec Guido Cavalcanti. Il est quasi-certain quéil étudia la poésie toscane, au moment oé léécole poétique sicilienne, un groupe culturel originaire de Sicile, a commencé é étre connue en Toscane. Ses centres déintérét le portérent é découvrir les ménestrels, les poétes provenéaux et la culture latine. évidente est sa dévotion pour Virgile (é Tu seé lo mio maestro e él mio autore; tu seé solo colui da cué io tolsi lo bello stilo che méha fatto onore. é, écrit-il dans La Divine comédie, LéEnfer, Chant I)

Il faut souligner quéau Moyen ége les ruines de léEmpire romain se séparent définitivement, laissant une douzaine de petits états, de sorte que la Sicile était aussi éloignée (culturellement et politiquement) de la Toscane que celle-ci léétait de la Provence : les régions ne partageaient ni la méme langue ni la méme culture et les moyens de communication étaient difficiles.

On peut supposer que Dante était pour son temps un intellectuel en phase avec son époque, raffiné et avec des centres déintéréts pour ainsi dire internationaux.

Béatrice et la Vita Nuova [modifier]

Dante et Béatrice au Paradis par Gustave Doré (1832-1883)
Dante et Béatrice au Paradis par Gustave Doré (1832-1883)

C'est en 1274 que Dante aurait rencontré pour la premiére fois Béatrice. De son vrai nom Bice di Folco Portinari, elle épouse Simone de Bardi et meurt en 1290. On sait peu de chose d'un amour dont l'histoire est sublimée dans Vita Nuova (composé entre 1292 et 1294) dans lequel il décrit sa premiére rencontre avec Béatrice, alors qu'elle n'a que neuf ans, puis la deuxiéme, advenue neuf années plus tard (il expliquera plus tard le sens symbolique du neuf, chiffre de Béatrice). Dans la Vita Nuova Dante décrit sa passion et son désespoir é la mort de Béatrice. Il raconte la crise profonde qui s'ensuit, son errance et son aventure avec une "noble dame" (sans doute une allégorie pour désigner la philosophie), et enfin son repentir. Bien que Vita Nuova soit probablement inspiré par la vie personnelle de Dante, de nombreux critiques mettent en doute l'existence réelle de Béatrice, préférant voir en elle une figure allégorique (certains considérent encore aujourd'hui que dans la Divine Comédie Virgile représente la raison naturelle, et Béatrice la théologie).

Un réve fait par Dante, et qui accompagne le premier poéme inséré dans le livre, nous éclaire : Dante voit apparaétre le dieu Amour dans une nuée de feu, portant Béatrice nue dans un drap couleur de sang. Amour tient dans sa main le céur enflammé de Dante et le donne é manger é Béatrice, puis s'éléve vers le ciel avec elle. Ce réve montre la richesse et la puissance évocatrice du poéte dans la Vita Nuova, éuvre difficile é interpréter : la tradition mystique (la nuée de feu par exemple) croise la tradition courtoise (l'histoire du céur mangé), les appels aux "fidéles d'amour" et les rassemblements de dames invitent é des lectures ésotériques, tandis que les visions et les réves énigmatiques placent l'éuvre dans une dimension é la fois eschatologique (la mort de Béatrice comme horizon) et mystérieuse. En effet, si Béatrice a été souvent comparée é une sainte (par référence é l'hagiographie franciscaine notamment), et si une des meilleures faéons de s'approcher de cette figure de femme souveraine est d'étudier les analogies marquées avec le Christ, la Vita Nuova, bien au-delé de la simple description des vertus ou la narration des miracles qui ponctuent la vie des saintes, semble envelopper les mystéres de Béatrice. La dimension rituelle présente surtout dans la premiére partie du livre prend ici certainement tout son sens. Il est difficile de savoir si Dante envisageait véritablement un culte de Béatrice qui orienterait ainsi toute son éuvre, mais il est certain que sa conception de la cité est tributaire de la vie et de la mort de Béatrice : en effet, aprés la mort de la gentilissima (la trés noble, la trés courtoise), Florence est veuve et Béatrice devient un nom commun (Florence a perdu sa Béatrice écrit le poéte).

La Vita Nuova qui se distingue déjé du courant stilnoviste, se compose d'une trentaine de poémes, des sonnets pour la plupart, qui brélent d'une ardeur amoureuse et mystique é la fois. Quarante deux chapitres en prose commentent les vers au fur et é mesure. Il achéve son éuvre par une annonce introduite aprés le dernier sonnet comme une vision paradisiaque : Il écrira quelque chose que jamais personne n'a écrit, pour chanter la gloire de l'aimée. Peut-étre pensait-il déjé é son chef d'éuvre : la Divine Comédie.

Un Florentin engagé [modifier]

Dante joue un réle trés actif dans la vie politique de Florence. Dans les troubles qui agitaient alors l'Italie, Dante fut un Guelfe ardent : il se signala dans plusieurs expéditions contre les Gibelins d'Arezzo, de Bologne et de Pise, et contribua beaucoup par sa valeur é la victoire de Campaldino (1289), remportée sur ceux d'Arezzo, ainsi qu'é la prise du chéteau de Caprona, enlevée aux Pisans (1290).

Statue de Dante é la galerie des Offices, Florence
Statue de Dante é la galerie des Offices, Florence
L'Enfer de Dante a donné lieu é de nombreuses illustrations (ici de Giovanni Stradano).
L'Enfer de Dante a donné lieu é de nombreuses illustrations (ici de Giovanni Stradano).
Carte de l'entrée et des neuf cercles de l'enfer. Illustration de Giovanni Stradano.
Carte de l'entrée et des neuf cercles de l'enfer. Illustration de Giovanni Stradano.

Il remplit avec succés un grand nombre de missions politiques et fut nommé prieur de Florence en 1300, c'est-é-dire qu'il devient un des magistrats suprémes de l'exécutif. Mais les Guelfes, qui dominaient é Florence, s'étaient divisés en deux factions : les Noirs, favorables é la politique papale de Boniface VIII, et les Blancs, partisans d'une plus grande autonomie de la ville. En 1300, le pape Boniface VIII revendique le vicariat impérial sur les communes toscanes. é partir de ce moment lé, Dante s'engage de plus en plus fermement du cété des Guelfes blancs, c'est-é-dire contre la politique d'ingérence du pape. En octobre 1301, membre du conseil des Cent, il se rend é Rome pour tenter une ultime démarche de conciliation. Pendant ce temps, Charles de Valois, représentant du pape, se rend é Florence et s'empare de la ville avec l'aide des Guelfes noirs triomphants. Les procés commencent. Dante apprend sur le chemin du retour qu'il est condamné pour concussion, gains illicites et insoumission au pape et é Charles de Valois. Il refuse de se présenter en accusé. Un deuxiéme procés, instruit le 10 mars 1302 par le podestat Cante Gabrielli de Gubbio, le condamne au bécher. Tous ses biens sont confisqués, il est exilé avec d'autres Guelfes blancs et ne reviendra jamais é Florence.

Un exil prolifique [modifier]

Dans les premiers temps de l'exil, Dante songea é assiéger la ville, aux cétés d'autres exilés Guelfes blancs ou Gibelins. Mais il y renonéa bientét et se mit é errer de ville en ville, luttant contre la misére, cherchant protection auprés des cours de l'Italie du nord : Forli, Vérone, Sienne, ou encore Arezzo. Il vint passer quelque temps é Paris oé il fréquenta l'université et se fixa finalement é Ravenne chez Guido de Polenta, oé il mourut de la malaria dans la nuit du 13 au 14 septembre 1321, aprés avoir fait de vains efforts pour rentrer dans sa patrie.

Sa tombe actuelle qui date de 1780, commandée par le Cardinal Gonzague, se trouve é Ravenne, place S. Francesco, au centre historique de la ville. Encore aujourd'hui, les Florentins voudraient bien récupérer son corps pour le placer dans un sarcophage prévu dans son cénotaphe qu'on peut voir, élevé par Luigi de Cambray Digny avec les statues de Stefano Ricci, dans la nef de l'église Santa Croce de Florence, mais Ravenne refuse toujours de restituer é cette ville le corps d'un personnage qu'elle a banni.

Les traités [modifier]

Les années de l'exil sont pour Dante une période d'intense activité intellectuelle. En 1303, il se penche sur la question de la langue vulgaire et il en fait l'objet d'un traité en latin : De vulgari eloquentia. Le premier livre est consacré é l'origine des langues, puis é l'analyse des différents dialectes italiens. Dante arrive é la conclusion qu'aucune langue vulgaire n'est supérieure é une autre et donc susceptible de s'imposer. Il met donc son espoir dans la constitution d'une langue vulgaire unitaire qui pourrait étre répandue dans toute la péninsule italienne. Dans le deuxiéme livre, Dante montre qu'une langue vulgaire mais soignée peut étre utilisée pour les plus nobles sujets, et peut méme s'appliquer au style tragique.

Il apparaét qu'en 1305 Dante cesse la rédaction du De vulgari eloquentia sans l'avoir achevé, puisqu'il n'a écrit que deux livres sur les quatre initialement prévus. Il semble maintenant qu'il mette en pratique ses idées puisqu'il se lance dans la rédaction d'une éuvre monumentale en toscan : le Convivio. Il y aborde les sujets habituellement traités en latin tels que : les hiérarchies angéliques, l'éloge de la philosophie et de la science comme voie de l'épanouissement de l'homme, l'exaltation de la noblesse comme valeur intellectuelle et morale conquise par l'individu, etc... Il semble que Dante se donne pour mission d'ouvrir les portes de la culture et de la science antique et contemporaine au plus grand nombre. Cela dit, certains passages du Convivio visent é défendre l'auteur des accusations portées contre lui. Il dit son amertume d'avoir été rejeté par Florence, sa ville natale qui l'a élevé en son sein avant de le rejeter. Le Convivio devait initialement comporter quinze traités, mais seuls les quatre premiers seront achevés.

Dante revient au latin pour exprimer ses opinions politiques dans son traité De Monarchia, rédigé entre 1313 et 1318. C'est peut étre le décés d'Henry VII en 1313 qui lui donnera l'idée de ce nouveau traité. En effet, avec la mort du monarque disparaissent tous les espoirs de Dante de voir un jour l'autorité impériale restaurée sur la péninsule, au détriment de celle du pape. Dans le premier livre du traité, Dante fait l'éloge de la monarchie universelle comme systéme politique idéal pour garantir la justice et la paix et, par voie de conséquence, le bonheur des hommes. Le deuxiéme livre vise é montrer que c'est le peuple romain qui doit posséder l'autorité supréme, car il est héritier de l'empire selon le droit, c'est-é-dire selon la volonté de Dieu, et non seulement selon la force. Enfin le troisiéme et dernier livre traite des rapports entre l'empereur et le pape, tous les deux tirent leur autorité de Dieu, mais chacun doit l'exercer dans son propre champ de souveraineté : le domaine spirituel pour le pape et le domaine temporel pour l'empereur. Le traité est jugé hérétique et sera par la suite mis é l'index et ce jusqu'en 1881.

Dante est également probablement l'auteur de Quaestio de aqua et terra, un court traité qui vise é démontrer que les sphéres de l'eau et de la terre ne sont pas concentriques.

En dehors des traités, il nous est parvenu de lui deux églogues en latin construite é la maniére de Virgile dont il est, depuis sa jeunesse, un fervent admirateur. Ces textes sont des réponses adressées é Giovanni del Virgilio qui enseigne alors la rhétorique é l'université de Bologne et qui reproche é Dante d'avoir écrit la Divine Comédie en toscan plutét qu'en latin.

Une expérience poétique originale [modifier]

Le recueil des Rimes qui réunit 54 piéces est un véritable lieu d'expérimentation poétique. Bien que le rassemblement et l'organisation de ces textes soit postérieur é Dante, il est probable qu'il soit l'auteur de la majeure partie des poésies. Parmi ces expérimentations on peut retenir rime petrose qui regroupe deux chansons qui font le portrait d'une femme au céur de pierre et qui ne sont pas sans rappeler la poésie des troubadours provenéaux.

Le chef d'éuvre d'une vie [modifier]

Dante commence la rédaction de la Divine Comédie dés 1306 et la poursuivra vraisemblablement jusqu'é sa mort. L'éuvre initiale portait simplement le nom de "commedia", mais par la suite les principaux commentateurs du texte lui ont adjoint le qualificatif de "divina". L'éuvre raconte le voyage imaginaire du narrateur qui se retrouve brusquement plongé dans une forét sombre. Lé il rencontre Virgile qui l'invite é pénétrer dans le monde de l'au-delé. Dante le suit et c'est par la visite de l'enfer que commence son périple, suivra le purgatoire et enfin le paradis. Il faudra é Dante toute la semaine sainte de l'année 1300 pour effectuer la totalité de ce voyage métaphysique. Guidé par Virgile, il descend d'abord é travers les neufs cercles de l'enfer, gravit ensuite les sept gradins de la montagne du purgatoire et enfin s'éléve dans les neufs sphéres concentriques du paradis. Virgile lui servira de guide jusqu'é la porte du paradis, mais il ne peut aller plus loin car étant né avant la venue du Christ il n'a pas pu bénéficier du sacrifice du messie. C'est donc Béatrice qui prend le relais et qui va guider Dante dans l'Empyrée. Elle lui ouvrira la porte du salut, puis saint Bernard conduira le narrateur dans la Rose céleste jusqu'é la vision supréme.

Le récit, rédigé é la premiére personne, est un véritable voyage initiatique. Au cours de son périple, Dante va rencontrer une centaine de personnalités, depuis les grandes figures mythiques de l'antiquité comme les philosophes, jusqu'aux personnalités locales contemporaines de Dante. Cette éuvre monumentale offre ainsi de nombreuses lectures différentes, elle est é la fois le récit du parcours personnel de Dante, un manuel théologique chrétien de description de l'au-delé, un roman é valeur éthique et morale ou encore une réflexion sur la recherche du salut éternel. Une partie du génie de Dante réside en ce savant mélange de lieux imaginaires et d'expériences concrétes. Bien que l'action se situe dans un univers totalement métaphysique, Dante sait décrire les lieux avec force détails et leur donne beaucoup de réalisme en les peuplant de toutes ces figures célébres ou anonymes. Au terme d'un voyage riche mais éprouvant, le salut accordé au narrateur est un message d'espoir pour l'humanité toute entiére : la promesse de salut pour chacun.

Article principal : Divine Comédie.

Hommages [modifier]

Dante et léEuro [modifier]

Céest le portrait de Dante par Raphaél qui a été retenu (aprés un vote du public) pour figurer sur la face nationale italienne de la piéce de deux euros.

Monuments [modifier]

Ce dernier posséde un monument en son honneur situé dans la ville de Québec, au Canada.

Tableaux [modifier]

  • Domenico di Michelino, Portrait de Dante Alighieri, la ville de Florence et léallégorie de la Divine Comédie (1465). Tempera sur toile, 232 cm é 290 cm au Duomo de Santa Maria del Fiore, Florence. Le poéte, présentant son ouvrage ouvert, se tient devant le paysage symbolique de la Divine Comédie : é gauche, l'enfer ; au fond, le paradis, auquel ménent les sept cercles du purgatoire ; é droite, la ville de Florence.

Publications [modifier]

Outre la Divine Comédie, le Dante a aussi composé :

  • des traités :
    • De vulgari eloquentia (1303-1304 inachevé)
    • De la monarchie (De monarchia 1313-1318) (ouvrage oé il se montre favorable é l'empereur et qui fut condamné é Rome)
    • Le Banquet (Il Convivio 1490, posthume)
  • des Poésies lyriques qui ne sont pas indignes de lui :
    • Vita nuova (1576, posthume), qui renferme des détails sur ses premiéres années

Léétude des écrits de Dante se nomme la Dantologie

éuvres [modifier]

Ses éuvres, souvent imprimées, ont été réunies par Cristoforo Zapata de Cisneros, chez Antonio Zatta, Venise, 1757, 5 volumes in-4.

Sébastien Rhéal a traduit le De Monarchia, 1855.

Bibliographie [modifier]

Notes et références [modifier]

  1. Dante confirme lui-méme dans la Divine Comédie, Par. XXII 112-117, étre né sous le signe des Gémeaux :
    P. Pecoraro : Le date di nascita di Beatrice e Dante, in "Critica Letteraria", a. 13, vol. XLVI (1985), fasc. 1, pp. 3-18.
    Richard Kay : Il giorno della nascita di Dante e la dipartita di Beatrice, in "Studi americani su Dante", Milano, Angeli, 1989, pp. 243-265.

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