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NOUVELLE  MAMAN

RETOUR  A  LA  MAISON 

 

  • Vivez au rythme de votre enfant

     
  • Vivez au rythme de votre enfant. S'adapter aux horaires de son bébé est
    la meilleure solution pour tenir le choc . Vous ne le savez peut-être pas mais,
    du temps de votre grand-mère ou de votre arrière-grand-mère, les suites de
    couches s'appelaient « relevailles » et elles duraient quarante jours.
    Plus d'un mois de repos, total ou partiel, avant de reprendre une activité. On en
    est loin aujourd'hui, pourtant les mots « être vidée, épuisée, crevée… » ont bien
     un sens ! Il faut donc vous ménager pour récupérer plus vite. Vivre au rythme de
    son bébé, c'est tout simplement se reposer quand il dort : faire la sieste, s'allonger
     sur le canapé… Et si, dans les premiers jours, vous êtes quelque peu submergée par
     les tâches répétitives, rapidement, les horaires anarchiques de votre bébé vont
    se régulariser, vous laissant du temps pour souffler. Cependant, n'en faites pas un
    prétexte pour sauter des repas, au risque de voir surgir coups de pompe et déprime.
  •  

     

    Soyez attentive à ses messages

     

    Gardez votre bébé près de votre lit, la nuit. Un couffin posé par terre fera
    parfaitement l'affaire. Avant de se réveiller, un nourrisson émet une
     multitude de signaux : il bouge, fait des petits bruits de succion… Vous sortirez
    du sommeil doucement et vous vous rendormirez plus facilement. Fini le
    stress des hurlements qui déchirent la nuit, et la panique qui s'ensuit.

    Soyez attentive à ses messagesVotre bébé n'a pas besoin d'une mère
    diplômée en puériculture mais d'une maman qui le comprenne, le rassure et le cajole.
     Et ça, vous savez faire ! Prenez le temps d'observer votre
     tout-petit et d'écouter ce que vous ressentez pour satisfaire au mieux ses
    demandes. Lui aussi est perturbé et doit s'adapter à son nouvel environnement.
    Lorsqu'il pleure, passez en revue ce dont il a besoin (il a faim, soif, est énervé,
     a trop chaud ou envie d'un câlin…) et répondez à sa demande. S'il continue de
    crier, peut-être n'y a-t-il pas de véritable raison à sa colère ou se
    débarrasse-t-il d'un trop plein d'énervement… De toute façon, vous ne
    pouvez le consoler en toutes circonstances, et c'est normal.

    Laissez-vous guider par votre enfant, c'est lui qui vous aide à être mère.
    Le Dr Philippe Grandsenne, auteur de Mon bébé en bonne santé (Hachette),
    conseille de se dire : « Je ne sais pas ce que tu veux  mon bébé - mais je te
    réponds dès que je peux -, c'est toi qui va m'apprendre. »
    Essayez, ça fait relativiser bien des choses.

     

    Ayez confiance en vous

     

    Beaucoup de jeunes mères veulent donner d'elles une image parfaite.
    Le linge du bébé doit être impeccable, il faut dépoussiérer tous les meubles…
    Résultat, elles s'épuisent dans des travaux inutiles au lieu de s'occuper
    quasi exclusivement de leur enfant. C'est plus facile à dire qu'à faire,
    c'est certain. Mais franchement, quelle importance si les grenouillères de votre
     bébé ne sont pas repassées (si, si, on en connaît certaines qui ne
    peuvent s'en empêcher !) et si le ménage n'est pas fait à fond (un bébé n'a pas
     besoin de vivre dans un univers aseptisé et javellisé) ? Si vous avez la chance
    d'avoir votre mère pour quelques jours à la maison, profitez-en. A elle
    l'intendance, à vous les soins et les câlins au bébé. Et non l'inverse… Sinon,
     apprenez à déléguer et faites appel à toutes les bonnes volontés.
     Les courses en grande surface ou au marché, votre compagnon peut bien sûr
     s'en occuper. Déposer et aller chercher les aînés à l'école, se charger des
     courses urgentes… sont des services qu'une sœur ou une amie disponible peut
    vous rendre volontiers. Quant à belle-maman, si elle veut être utile,
    suggérez-lui donc de venir un après-midi cuisiner des petits plats en grande
    quantité. Vous n'aurez plus qu'à les congeler, les dîners seront prêts en
    dix minutes.

     

     

  •  

  • Prenez soin de vous

  • Chaque jour, au petit matin, vous êtes exténuée ? Pourquoi ne feriez-vous pas
    appel à une garde de nuit. Passez un coup de fil dans les écoles d'infirmières
     ou de sages-femmes. Pour environ 40 €, une professionnelle prendra en charge
    votre bébé tandis que vous dormirez tranquillement. Bien sûr, ce n'est pas
    à la portée de toutes les bourses. Mais si vos amis ou votre famille se cotisent,
     c'est un superbe cadeau de naissance qui en vaut bien d'autres. Si vous avez la
    chance d'accoucher dans un CHU qui intègre une école de sages-femmes ou
    d'infirmières, mettez une petite annonce à la maternité. Sinon, adressez-vous à
    des associations ou à des sociétés spécialisées dans la garde d'enfant
     à domicile.
  • C'est peut-être cela finalement le plus difficile à réaliser. Se dire qu'on est une
     bonne maman pour son bébé. Pas n'importe lequel, le sien, celui qu'on a mis au
    monde et qui nous a reconnue tout de suite. Que les mamans écoutent leur instinct plutôt
     que les conseils de leur entourage. Non, vous n'êtes pas une mauvaise mère
    parce que votre bébé a horreur du bain ou que l'allaitement démarre difficilement !
     C'est ainsi pour toutes : plus vous êtes épuisée, et plus vous vous sentez inquiète
     et coupable. Pleurer un bon coup, c'est aussi admettre qu'on n'est pas parfaite :
    ça va beaucoup mieux après. En tout cas, aucune autre personne - si ce n'est le
     père de votre enfant - ne peut faire aussi bien que vous. Rassurant, non ?

     
    On a le droit d'aller mal. Mais si les idées noires plombent continuellement votre
     moral, n'attendez pas pour vider votre sac. Confiez-vous à votre meilleure amie
    (celle qui peut tout entendre, même votre difficulté à être heureuse), appelez votre
     mère ou le pédiatre au secours ou poussez la porte de la PMI (protection maternelle et
    infantile) de votre quartier. Parler, être écoutée allège le fardeau
    qui pèse sur les épaules.

  •  

  •  

    Aidez le papa à prendre sa place

  •  

  • Souvent, il y a une telle fusion entre la jeune maman et son bébé qu'il n'est pas
     facile pour elle d'accepter de le confier à son compagnon. Et pourtant, ce faisant,
     vous reconnaissez à ce dernier sa place de père. C'est durant les premiers jours
    que leur attachement mutuel se fonde : votre homme apprivoise doucement son bébé
     et le sentiment tout neuf qui va avec. Le congé de paternité est aussi fait pour
     ça. Prendre soin d'un nourrisson n'est pas l'apanage des mères, d'autant plus,
    qu'à deux, tout est plus facile et moins angoissant.

     Votre compagnon se propose de donner le biberon ou de changer bébé ? Il peut
     parfaitement se débrouiller seul : fermez la porte et laissez-les tous les deux.
    Tant mieux s'il ne fait pas comme vous, car un enfant se construit dans cette
    différence. Rassurez-vous, si votre homme a besoin de votre aide, il vous appellera.
     Pendant ce temps, pomponnez-vous ou plongez-vous dans un bon livre.

     

     

    Les premières semaines, la fatigue, les suites de l'épisiotomie et l'attention
    que vous accordez à votre bébé freinent les élans et les échanges amoureux qui
    faisaient le sel de votre relation.C'est normal. Cela dit, se retrouver en
    tête  à tête assez vite est une bonne chose, ne serait-ce que pour se parler.
     Votre compagnon rentre du bureau ? Installez-vous tous les deux au salon un
     quart d'heure pour discuter de tout et de rien (mais pas des couches ou des
     biberons !). Si ce n'est pas possible le soir, prenez ensemble le lendemain
    matin un vrai petit déjeuner. Demandez à votre sœur de venir garder
    votre bébé le week-end suivant pendant que vous irez au cinéma ou au restaurant…
    Vous ne vous absenterez que deux à trois heures, le laps de temps entre deux tétées.
     Ce n'est pas toujours facile de se tourner vers son homme alors que tout
     ramène à son enfant… mais vous ne le regretterez pas. Et n'oubliez pas de lui
    dire la chance que vous avez d'avoir fait un bébé aussi beau avec lui.

    Avant de vous endormir (et en attendant la tétée de 23 heures), accordez-vous
    chaque soir un petit moment de tendresse sous la couette avec votre chéri.
     C'est l'idéal pour apaiser les tensions de la journée et s'endormir sur une note
    agréable. Prenez votre compagnon dans vos bras (à moins qu'il n'en ait lui-même
    l'initiative ?), chuchotez-lui des mots doux à l'oreille, massez-lui les épaules…
     Le couple qui nous a soufflé cette idée a retrouvé en douceur le chemin du désir.

     

    astuces pour assurer sans stresser


  •  Faites-vous plaisir

  •  

  • Accordez-vous des moments pour prendre
    soin de vous, physiquement et moralement.
    Vous vous étiez habituée aux rondeurs de votre corps, il faut en faire le deuil.
    Il était « plein », le voilà vide, peu tonique, avec des formes qui ne vous
    plaisent plus guère. Le masser cinq minutes chaque matin avec une bonne crème
    hydratante permet de se le réapproprier. C'est simple mais efficace. Côté vêtements,
    une jolie chemise large camouflera vos rondeurs excessives… Prenez rendez-vous
    chez le coiffeur pour rafraîchir votre coupe de cheveux si vous ne l'avez pas
    fait avant la naissance. Enfin, sortez vous aérer sans votre bébé. Bien sûr,
    il faut une voisine ou une marraine complaisante pour pouvoir se le permettre
    mais une « bonne mère » est aussi une femme qui sait s'accorder un peu de temps
     pour elle. Un tête-à-tête permanent peut devenir étouffant pour le bébé.
    Si vous êtes fatiguée ou irritée, il le ressent. Et s'énerve à son tour.

     


  • Reprenez contact avec vos amies et collègues, ne serait-ce qu'en leur
    téléphonant de temps en temps (une bonne façon de ne pas rompre le fil avec
    l'entreprise dans laquelle vous travaillez). Passé les premières minutes consacrées
     aux nouvelles du bébé, intéressez-vous à elles : où en est la dernière histoire
    d'amour de Victoire ? Les problèmes au bureau de Virginie ? Les otites à
    répétition du fils d'Isabelle ? A propos de conversation, communiquer par Internet
    - si vous avez la chance de l'avoir à la maison -, c'est formidable ! Sophie,
    toute nouvelle maman, l'expérimente depuis quelques jours. Elle est connectée à la
     terre entière, répond aux messages quand elle le désire. Et sans sonneries
    intempestives…

    Offrez-vous ou faites-vous offrir (vos collègues ne vous ont-ils pas demandé
     ce qui vous ferait plaisir pour cette naissance ?) un ou deux soins dans un
    institut de beauté. Gommage, massage du visage et du corps, épilation… vous en
    ressortirez apaisée et transformée. Une nouvelle femme est en train de naître !

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  • COMMENT AIDER L'AINE A ACCEPTER LE NOUVEAU-NE ?
     

     Pendant la grossesse vous avez encouragé votre grand à toucher votre ventre, vous lui av ez demandé son avis sur le prénom

  • ou la couleur du papier peint de la chambre.

  • Maintenant que le bébé est là, c'est une autre histoire !

    Petits conseils

    Dites-lui - quel que soit son âge - que vous l'aimez toujours autant. Un coeur de maman, c'est extensible à l'infini !

    Evitez dans la mesure du possible de trop bouleverser son rythme de vie et ses habitudes (par exemple, le changer de chambre). Peut-être n'aura-t-il pas l'mpression que le bébé lui vole sa place.

    Ne faites pas du nouveau-né le centre du monde, l'aîné peut se sentir exclu. Proposez-lui plutôt de vous aider de temps en temps : aller chercher une couche propre, tenir le bébé dans ses bras quelques instants...

    Restez de marbre s'il vous déclare qu'il n'aime pas son petit frère ou sa petite soeur et qu'il ne l'aimera jamais. Il a le droit et a bien raison de lui en vouloir. En revanche, ne l'autorisez pas à avoir des gestes agressifs et violents envers lui : il doit comprendre qu'il y a des limites à sa rancune.

    Réservez-vous des moments en tête-à-tête, des jeux, des sorties. Et si vous lui faites comprendre que le bébé est trop petit pour vous accommpagner, il sera fier de son statut de grand. Redites-lui que sa place est unique est qu'il la gardera. Quelle chance il a d'être aîné, indépendant et autonome !

     

     
     
     

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