Bonjour. visiteurs jour : 2       Au président     Beauté santé     Infos loisirs     Ensemble      Jean      Informatique     Einstein     Santé corona

Bienvenue sur


Cliquez ici smile coucou et merci Merci

le site de Germaine

 

  Accueil - Animaux - Architecture - Archives - Articles - Avions - Cuisine - Ecrivains - Histoire - Jardin - Jeux - LYON - Maison - Mythologie - Ouvrages - Peintres - Personnalités - Poesies - Recettes - Religion - Sante - Savoir vivre - Sciences - Univers - Plan du site -



   



Les homosexuels répondent différemment aux phéromones

Une étude réalisée par l'Institut Karolinska (Suède) a montré que le cerveau des hommes homosexuels réagit aux phéromones males de la même façon que celui des femmes. L'étude fut réalisée auprès de 36 hommes et femmes en bonne santé. On leur a demandé d'identifier des odeurs, dont certaines comprenaient des phéromones males ou femelles, tout en analysant l'activité du cerveau par tomographie par émission de positrons (TEP).

On pense qu'un composant de la sueur des hommes, dérivé de la testostérone, joue le rôle de phéromone sexuelle au sein de notre espèce. Cette phéromone active la région antérieure de l'hypothalamus (zone préoptique) des femmes, une région du cerveau dont on sait qu'elle joue un rôle majeur dans le comportement sexuel des animaux. Les chercheurs ont découvert que cette phéromone a le même effet chez les hommes gays, alors qu'elle n'a pas d'effet chez les hommes hétérosexuels.

L'hypothalamus. Photo: NASA
L'hypothalamus. Photo: NASA



On ne sait pas si c'est l'activation de cette zone du cerveau qui contribue à l'orientation sexuelle, ou si c'est au contraire l'orientation sexuelle qui détermine la réaction du cerveau. Les auteurs de l'étude insistent sur le fait qu'il ne faudrait cependant pas croire que l'orientation sexuelle ne dépend que de la biologie. Il s'agit vraisemblablement du résultat d'un mélange d'influences psychologiques, sociales et biologiques - pour ainsi dire, tout ce qui fait de nous des êtres humains.

Source : PNAS, New Scientist

WDW__p/VD.htmWFW
vues  213     En ligne actuellement :   2   Total des clics  431294